Le nuit tardait à tomber. Le ciel se faisait sombre mais gardé les éclats brillant du jour, comme si il ne désirait jamais éteindre de ses lumières. Mais ... Il faut bien s'arrêter de pleurer de temps a autre. L'Éclat était à la fenêtre de son bureau. [Suicide.] Derrière elle, un bureau propre et sans paperasse, déjà ranger dans les terroirs. Sur chaque coté de la fenêtre, de grande armoire de paperasse scellé de sceau d'expert. Une petite pièce blanche a la vu magnifique.
► MEI TERUMI ◄
" Et moi je chante ♫ "
Elle observait à l'extérieur le magnifique cerisier qui se dresser devant son bureau. elle n'était pas au derniers étage de la tours, c'était trop embêtant de monté tout les marches, alors elle avait intégralement réquisitionnée le second étage, la ou elle pouvait voir fleurir les plus belle plantes de Kiri. Bien que se ne soie plus vraiment la saison et qu'à présent le cerisier se flétrissait comme un arbre mort, [comme toi mon amour.] rependant ses pétales partout autours de lui, partout dans la court donnant des missions au Genin du village. Des genins qui n'avait plus besoin de passer le test que elle elle avait passé. Tout était bien mieux maintenant même si elle reconnaissait qu'avant les ninjas était plus puissant, mais il était aussi beaucoup moins nombreux et beaucoup plus sombre.
Elle elle avait eu de la chance, beaucoup de chance. [Ou peut être pas.]
Elle soupira, ouvrant ses lèvres comme un 'o' pour murmurait, chantonner une petite balade. sa journée était fini. Il lui manqué plus que la visite d'une certaine personne et elle pourrait rentrer chez elle. Un vertige prit la dame, elle s'assit sur son bureau. Un vertige de vivre [alors que lui est mort] avait il souffert, lorsqu'elle l'avait tuer? avait il trouvait le spectacle beau ? Avait il vu le mal qu'elle c'était donné? Mais le plus douloureux c'est qu'il était mort. Et que depuis, elle n'arrivait plus a parler correctement avec le deniers de la bande, ou son sensei...
mais Aujourd'hui se serai diffèrent! [Ou la mort passera.], aujourd'hui c'était l'anniversaire de leurs premières rencontre, le jour de cette examen à académie, ou ils étaient tous sur une petite ile à s'entre tuer, où il est venu et ...
Elle revoyait correctement ses yeux, se n'était pas un mirage. elle voyait ses yeux fins et prit de folie.Elle pouvait comprendre, elle pouvait savoir et elle en avait eut peur. Et maintenant ? En a t'elle toujours peur ? Mais le passé appartiens au passer. Et il est de notre devoir de le laisser là où il est. [M'aurai tu tuer ? Jizô ... ]
J'aurai voulu lui montrer la pâleur de ces yeux j'aurai voulu lui murmurait la profondeur de ces yeux, allant jusqu'au cieux. et je l'entendais murmurer. Un Océan de sentiments se mélangeant en moi, indélébile comme première rencontre. Mais c'est si doux cette brulure, là ou tes yeux mon toucher. écoulant mon sang dans mon cœur, écoulant mon souvenir. mais, j'aurai aussi voulu lui demander pourquoi son cœur c'est fatiguait. j'aurai voulu lui montré que de l'or et toujours cacher, que le Velours de la vie reste immense et qu'il n'est jamais trop tard pour aimer. rien n'es dissous dans l'éternité; mais .... Cette océan d'ombre, se mélangeant en moi, un océan de sentiments, de sensation lorsque nos regard se sont croisé. Tu te souviens ?
Dernière édition par Mei Terumi le Mar 31 Aoû 2010 - 1:56, édité 2 fois
Jizō
Juunin Kiri
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Un antan sanglant qui se déroulé, il y a une vingtaine d'années de cela dans un silence glaçant dans la dénommé « Pièce Rouge » de Kiri Gakure, une pièce réputé pour les ninjas qu'elles forment, et malgré la puanteur de la mort qui rôdait dans ce lieu, cette pièce portait aussi le nom "d'Académie". Là aussi le sang coulait à flot, à croire que le meurtre tâchait aussi bien le pays de la brume sanglante que l'endroit où grandisse ces rejetons. C'est donc dans cette pièce se passait la seconde épreuve de la vie d'un ninja Kirijin, après s'être baigné du sang de sa mère pour voir le jour, l'élève devait se baigné du sang de ces frères pour voir le monde sous sa vraie nature. Des cris, des étouffements, des pleurs, toutes les émotions prenaient une voix, et ces voix traversaient les couloirs du bâtiment, et quand toute voix fut éteinte, on pouvait remarqué un mur en bois éclaté qui laissé une ouverture entre la « Pièce Rouge » et le monde extérieur, les pieds nus sur l'herbe fraîche, le jeune enfant était là regardant le cadavre empestant la mort d'un de ces camarades qui avait survécu le plus longtemps, dont le corps était là à languissait devant lui la gueule ouverte.
Jizō du défunt clan Jin l'appelait les quelques rares personnes qui l'avaient côtoyé et qui sont encore vivantes. Un bout de progéniture aux cheveux d'argents, au visage dénué d'expression, à la très fine silhouette, se vêtissant d'un kimono d'ébène dont les diverses éclaboussures de plasma vermeils trahissaient son activité morbide. La lame qu'il avait n'était plus là, seul sa main de fer était tâchait de sang qui n'était pas le sien, un sang qui coulait à flot. Profitant d'un silence pour admirer la scène, il pu alors entendre des pas familiers se rapproché de lui, une forme se tapissant dans l'ombre de la salle qui ne profitait pas totalement malgré le trou dans le mur de la lumière lunaire. Il l'a voyait cette forme, et n'avait pas besoin de se retourné pour ça. L'épreuve qu'il avait subit lui avait rêvelé le pouvoir qui se cachait en lui, à travers le tissu blanc du bandeau qui faisait office de cache-yeux se dégageaient deux halos rouges, les deux globes oculaires du démon qui frétillait d'une lumière mystérieuses. Lentement l'enfant remonta dans la pièce tâchant le parquet de ces pas de l'humidité de l'herbe que ces pieds avaient emporté mélangé au vermeil du sang déjà présent. Lentement il s'approcha de la forme, lentement sa main squelettique vint se tendre pour toucher la forme, et aussi doucement que subtilement, il l'a contempla. La forme pouvait s'apparentait à l'incarnation d'une déesse en enfant.
Ses joues sont froides, ses cheveux souillé du liquide de la vie sont aussi soyeux que la soie, sa frange brune marque un contraste entre un oeil caché & un oeil découverte. Son expression est marquée par la peur, la tétanisation de la mort. Cette enfant, est belle.
Le pinceau qu'était la main du jeune homme, vint dessiné sur les joues de sa camarade le kanji de la peur grâce à l'encre qu'il avait pu extraire des corps des défunts vivants. Puis approchant dangereusement ces lèvres des oreilles de la fille, cinq mots d'une voix suave s'échappèrent.
« Tu es sur mon chemin.. »
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _
La mort nous suis, nous sommes constamment accompagnés ou même guidés par celle-ci. C'est la mort qui dirige notre vie, c'est la mort qui nous fait vivre, c'est la mort qui nous permet de vivre, nous, encore plus que simples Shinobis, nous sommes des Kirijins.
La lune offre à la ténèbres dans laquelle Mizu No Kuni est plongé une obscur clarté ; maraudeurs, assassins, voleurs & autres malandrins se regroupent alors dans le village, s'y prolifèrent tel un poison pour la localité, cependant, qu'elles qu'ils soient, aussi infâmes que perfides, tous se doivent d'éviter un démon encore plus grand qu'eux qui converge dans la cité, un démon se dirigeant tout droit vers la tour administrative ou siège une des plus puissantes ninjas de ce monde, Mei Terumi. Mauvaises intentions ? Envie de perversités ? Visite de courtoisie ? Ses objectifs sont difficilement cernables au vue de leur relation obscur, mais une chose est sûr, elle l'attend.
Une ombre se faufile dans le bureau de la première Kunoichi, une ombre qui parvient derrière le siège de celle-ci. Pour que d'un Kimono similaire à celui qu'il portait à ce fameux événements 20 ans plus tôt, telle une vipère qui trouve sa proie, il lui enlace le cou alors que celle-ci est encore assise. Caressant sa joue de la sienne, chatouillant ces sourcils grâce au sien, plongeant son regard rapproché dans le sien, s'imissant dans l'océan d'émeraude de ces yeux.
« Oye, Mei-Chan, t'ai-je manqué ? » dis le jeune au corps frêle.
Sasuke* Uchiha
Chef Taka
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Fit elle alors d'un sourire. Laissant le nocturne démon l'observait de ses yeux de serpent. Regardant elle même le visage fin du jeune homme. Observant sont regard tourmenté. [Apprend moi, dit moi. Cajole moi.] Elle ferme les yeux un instant, pensait, s'imaginant. La dame leva sa main droite, touchant, entrant en contacte avec la peau douce de son assassin préféré.
► Flash back ◄
Son sang était glacé, comme sa main. Comme son propre corps [Bouillant] et de fine larme apparurent dans ses yeux, dans les yeux de la futur femme qui changera l'avenir de Kiri. Des larmes, mais pas n'importe les quelles. Pas celle qui roule de frayeur, pas celle qui tombe d'avoir mal. Celle de tristesse. Et elle n'était pas triste non plus de mourir.
" Es tu triste ? "
gamine de 12 ans, déchirant l'air de sa voix timide. Gamine au kenji de sang, caressant l'air de son intonation solide. A Fleur de peau, laissant les cristaux de ses yeux vert s'écoulait pour ceux qui ne peuvent plus le faire. a douze ans, nous sommes un peu fou, un peu craintif. Avec la larme facil pour beaucoup [surtout pour moi] Mais, la bouche de ce jeune homme, elle était magnifique. Ses mots semblaient blasphème entre ces lèvres murmurait pourtant avec une note de tendresse non ? Mais sa bouche, sanctuaire aurai du comporté de bien plus jolie note ? [Mais dit moi, pourquoi me dire cela ?] Mais il avait tord. C'est beau la vie. Elle le lisait dans ces yeux sombre. Dans ses yeux presque invisible. Et il est de sont droit a elle de tout toucher, de tout voire; Puisqu'elle en a envie et, vas t il vraiment ne pas la laisser faire. [Les yeux mouillait, je n'oublierais.] La petite fit un pas en avant, s'approchant un peu plus du démon au cheveux d'argent. Enlaçant ce derniers, collant sa gout de sang a la sienne, imprimant, a l'envers, le Kenji de la peur sur le visage du jeune homme. [Et maintenant qui a peur ?] D'être vu [être mis a nu] De souffrir [pour sourire] Pleurent ils la nuit ? [Et vous ?] la caresse du quelque seconde passer corps contre corps.
" As tu mal ? "
Demanda t elle encore, semblant vouloir l'aidé. [Mais a quoi faire?] Elle ferma les yeux, enfouissant ces yeux larmoyant contre le coup du garçon, n'effaçant pas son symbole ou celui du gamin. maintenant tout deux sécher. Elle le serait contre elle. [Où la serait il contre lui?] Lui faire du mal [la tuer ?] qu'importe. Elle s'en fichait. Après tout cela [Et si cela lui faisait du bien.]
◄ Fin du Flash back ►
Jizō
Juunin Kiri
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- 怖 - Peur Combien les années peuvent passé, le sang d'autrui la tacheté, les moeurs l'empestait, et sa fierté l'emportait, son parfum restait toujours le même.
« FlashBack »
Frêle tueur, honte de son clan ce soir là avoir laissé une de ces victimes en vie, cependant il le savait, cette fille n'était pas comme les autres. Recevant une accolade pour la première fois de sa vie, le jeune homme essayait de se souvenir si un tel réconfort avait déjà pu être gouté auparavant mais non, rien.. Le fait de se sentir blotti contre une personne dans une autre situation que l'étranglement procuré une sensation frémissante, non désagréable. Et face à sa question le jeune homme se repris.
« Je suis le Diable. Je suis l'esprit du mal, et je suis aussi le mal. Je suis un ange déchu, une créature qui s'est déchu lui même en se voulant l'égal de Dieu et en le rejetant. J'ai rejeté le bien et suis à l'origine du mal. La seule tristesse que je pourrais avoir serais celle de te laisser en vie... »
Cependant ces mots ne furent pas à hauteur de ces paroles dès lors qu'il sentis une perle salée de la jeune fille se glissait sous ces lèvres, et une autre descendre le long de son torse apportant un sentiment de vie à cette coque de mort. Ils sont là tels deux Dieux de la morts, au milieu d'un tas de cadavres, trempé du sang des faibles, destiné à se forgeant un destin de fort. Glissant ces mains dans son dos, partageant le câlin, mélangeant sa chaleur à la sienne, pénétrant ces désirs de réconforts, et glissants des murmures.
« ...Je suis Jizō, à présent nous serons deux. »
Collé contre sa poitrine naissante, léchant le kanji auparavant dessiné, la lavant de sa peur.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _
Il se souvenait de ce parfum, il se souvenait de ces moments, il ne les regrettait cependant pas, il ne regrettait pas de ne pas avoir porté la main sur elle ce jour, car il sait que s'il n'en serais pas mort par ces capacités monstrueuses, c'est lui qui se serait tué en sachant qu'il se serait privé d'un tel joyau, aussi divertissant que beau.
Son index et son majeur formèrent alors comme une paire de jambe qui se baladait le long de sa peau soyeuse et fine, passant par les cheveux, caressant son cou & touchant délicatement sa poitrine. Sentant les battements de son corps, l'incandescence de la vie chez elle, cette sensation de vivre que lui apporte le réconfort de la jeune femme. Même le diable avait ces propres péchés, et c'en était sûrement son plus pervers.
« Tu restes la même fille faible qu'autre fois.. Si je t'arrache ce cœur, m'en voudrais tu ? »
Ces mêmes doigts alors montèrent de nouveaux pour caressait son sourire et chevauchait ces paupières.
« Si je t'arraches ce regard, me regarderas tu de la même manière ? »
Son rire machiavélique incomba alors la salle dans une malice douteuse, l'aura du diable, la faim du meurtrier.
Sasuke* Uchiha
Chef Taka
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" Mei Terumi. Et à Présent nous former un Tout. N'y bon n'y mauvais. N'y main du diable, n'y main des anges. "
Les autres, se n'était pas pareil. Le mal, se n'était pas le même. [Le bien non plus.] Tout es question de position [De choix] de clarté ou de nuance. Et nous sommes tous gris [tous unis] dans une même peine. Dans une même horreur. Mais, c'étaient ils déjà rencontrés? [C'étaient ils déjà tués.] C'étaient ils déjà vu. [C'étaient ils déjà aimés.] L'Éclat bougea le visage, ne se détachant que peu du jeune homme, reculant un peu, observant le visage blême de Jizō. Son visage, sa couleur, la forme qu'il avait, sentant l'odeur du jeune homme. Elle ferma les yeux. posa son front contre celui du jeune homme. [La folie nous guète] Sentant sa nouvelle chaleur. Sentant son odeur [répugnante] de confort [et de Sang]Avait il tuer avant cela ? [Pour sur] Allait il tuer après ça ? [cela ne faisait aucun doute] Mais tuerait il comme avant ? [Si seulement ... ] Elle referma ses mains sur le kimono noir et vermeille. Caressant du bout des doigts la peau du gamin. Puis tournant les yeux vers se qui restait autours d'eux. Des cadavres. [Partout des cadavres.] Des monstre au yeux vide, des entités à l'apparence si laide. Des déchets de se que le monde ne veux plus, [des destinés.] Car c'était leurs destins de mourir ainsi pour laisser au plus fort la chance de pouvoir vivre encore un peu, jusqu'à se qu'un plus fort tue, puis un autre, puis un autre [pour l'éternité ou jusqu'à se qu'il n'y est plus que le néant] Mais. Le plus important se n'était pas ses orbites ternies, se n'était pas non plus toute se sang, se n'était pas le fait d'arracher la vie. C'était le fait de laisser vivre. Parce que c'est tellement plus dure de laisser la vie [lorsque nous avons tellement tuer.] Parce que c'est tellement plus dure de retrouver la vie lorsqu'il ne reste plus rien du reste. [Plus que toute cette mort] Mais c'est difficile. c'est dure. car il ne connait pas vraiment, puisqu'elle ne cherche pas à savoir non plus. Puisque sa fait mal de voir tout cela; puisque ça fait mal d'avoir fait tout cela. [Et sans rire, ils souffrent.] Il y a là aussi l'envergure de leurs sentiment nouveau. L'immensité de leurs sensations [de leurs douleurs] des sensations que l'on ne peux comprendre. Semblable a l'amour mais plus proche de la passion. Semblable à la colère mais plus proche de la haine. Mais pourquoi regardons nous les choses tel qu'elle sont ? Pourquoi ne les regardons nous pas plutôt comme elle pourrait être [Pourquoi pas ?] Mais un murmure, un soupire et le manque de ligne et de mouvement. le manque d'ambition mais l'envie de vivre. Le manque de maturité et la sagesse de vivre. [Ou de laisser vivre] se ne sont plus des enfants. Depuis qu'il ont eut une arme a la main. [Depuis qu'ils ont sur qu'elle servait a tuer.] Et depuis, surtout, qu'ils ont massacré une bande de goss a eux deux. depuis qu'ils ont tuer sans relâche un groupe de goss craintifs ou haineux. [Pleurant ou hurlant.] Puis des bruits. Des bruits de pas plus lourd. pas ceux d'un enfant;mais ceux d'un adulte. Qui arrive, qui chasse lui aussi. mais qui chasse les peureux, les craintifs. qui chasse se qu'il ne veulent plus, qui ne sont pas juger assez bon. [Ou ...]
Un grand homme apparut alors, dans l'encadrement d'une porte vers l'enfer. Il entra dans la pièce, voyant deux enfants au sommet d'un tas de cadavre. Semblant se câliner. Mais par groupe, un seul devait survivre [donc l'un devait mourir?] Un cruel dilemme s'installa. Les enfant savait, il n'était plus des enfants. il comprenait maintenant. Alors la demoiselle sera ses doigts sur le Kimono de Jizō, comprenant se qu'il allait se passer; sachant, devinant même la futur nature des choses. l'autre était un chuunin ou un genin, peut être même un Juunin? [Qu'importe.] Son visage avide [Pervers] se posa sur la princesse, éclatante beauté. il s'approchait. Le sourire au lèvres Une petite fille a tuer [a violer]. Mais faire l'amour, pas avec n'importe qui. Gardait cela pour le moment ou il le faudra vraiment. Pour le moment ou il y aura de l'amour [Ou de la passion] elle garde ça. [Jizō] Mais pas pour ça, pas pour lui. La douce se glisse lentement derrière Jizō, laissant le corps frêle, semblant maladif [mais fort.].
" Jizō-kun... "
Un murmure, un souffle une frayeur. Une prière aussi. Comme un accord. Sensible, doux. [Un extase aussi, une jouissance.] Au gré du vent, au gré de la mort, bientôt il n'y aura plus rien. Et bientôt elle ne pleurera plus contre le dos du Ji-kun, bientôt elle ne fera que sourire dans ses bras. Bientôt. [c'est léger, c'est doux.]
☼ Fin du Flash Back
Il la caressa [n'arrête pas, jamais]. Du bout des doigts. Touchant à sa peau, à ses lèvres, à ses cheveux. [Touchant à son corps, à son cœur et à son âme.] Il y a des défauts dans notre vie. Des 'je t'aime' un peu brouillon. Mais on peu trouvé dans nos gestes tout se qu'ils ne peuvent se dire [Tout se que l'on ne peux se dire] Lui parlant, la taquinant [Des mots d'amour] elle sourit caressant toujours du bout des doigts la joue du jeune homme, se redressant, légèrement, touchant du bout de ses lèvres [Du bout de son âme] Elle souriait, les yeux clos, léchant doucement la peau de Gin, frissonnant en contacte de ses doigts [de ses mots.] Puis soupirant contre sa peau, soufflant de l'air chaud et piquant, mortellement piquant même. [Faible dit tu ? Dans tes bras, toujours]
► MEI TERUMI ◄
" Je te pardonnerais. Si, en échange, ton cœur n'est qu'à moi. "
► JIZO ◄
Et si l'on devait mourir demain ? Toi qu'es que tu ferrais? Il y en a qui ne ferons rien, d'autre qui en ferait trop. Il y en a qui prierait, il y en a qui voudrait en finir avant. Mais, dit moi, qu'es qu'on ferrait , Du mal, ou du bien ? Si l'on avait que jusqu'à demain pour vivre tout se que l'on a rêvé, croie tu que l'on ne ferait que resté ensemble a se regardé, a se touché?[ On s'aimerait ?]
Allez, des roses se fane. Des caresse, des failles, de l'amour qui ne s'affiche pas. [Ou trop?] Mais un ange, [Un diable] Frappe a notre porte. alors nous ouvrons, écoutons les mots, écoutons les désirs tout en sensualité. Tout en contacte, tout en désir. Puisque ça a toujours était ainsi. et sans doute que ça le sera toujours. Peut être mieux par la suite [Ou pire.]
► MEI TERUMI ◄
" Mais si tu m'arrache mon regard .... Je serais triste. Puisque je ne pourais plus te voir Et savoir où te toucher. "
► JIZO ◄
Un sourire pourtant, toujours sur son visage pale. Elle leva sa deuxième main caressant doucement la nuque du jeune homme, caressant la joue de Jizo de la sienne, comme deux animaux se réconfortant. souriant, et se frottant toujours a lui. Déposant son odeur, sa chaleur. Prenant sa fraicheur et son odeur a lui aussi.
Jizō
Juunin Kiri
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Progéniture maudite, progéniture voué à un destin sanglant, progéniture voué à une vie difficile, et une mort douloureuse et oublié.
« FlashBack »
Orphelin, en l'absence de parents, c'est le démon de la pauvreté qui est votre précepteur. Dans cette situation non-désirable, il vous apprend que le putain dans lequel vous êtes née n'est fait que de mensonge & d'envies. Il vous apprend que personne ne pense à vous, et que par cette même occasion, vous ne devez pensé qu'à vous. Il vous apprend à vous nourrir, à vous rendre plus fort, à tuer vos belligérants et ce, quelle qu'en soit le prix. Il vous apprend à nous vous fié qu'à une seule chose, votre instinct de survie, et c'est dans ce monde que peuvent naître les pires meurtriers. Ceux qui ont ouverts les yeux au vrai visage de ce monde. Mais elle... elle le laissait sans voix. Elle venait de faire naître une étincelle de flamme dans le cœur du sans-cœur, celle de l'espoir.
Sentant ces mains, sa peau ces gestes, sentant ce plaisir que la senteur du parfum d'une jeune femme qui malgré le sang sur ces mains resté innocente, sentant sa vertus, et pouvant comprendre ce si grand contraste qui existait entre elle et lui, mais sachant cependant que dans cette crevasse qui les séparait, il y été érigé un pont de fer. Soudain, un autre profil s'était dessiné dans la pièce, un profil gigantesque pour les deux enfants, un profil ne donnant qu'un sentiment de peur, une peur bien trop superflu, une peur qui se calqué dans les mouvements de Mei, dans ses envies que Jizo la protège. Il était devenu son bouclier, et son épée. Et elle, elle était devenu sa nouvelle raison d'être. Celle qui l'avait persuadé d'arrêter de vouloir survivre, mais de vouloir vivre.
Dans une allure de danseur il se retourna en même tant que Mei, faisant dos au Juunin, et face à elle, posant une main glacé sur sa poitrine, sentant sa vie qu'il désirait tant, il y traça un simple trait de sang avant de reprendre les mots :
« Tu as trop vus de sang pour aujourd'hui Mei. »
D'un choc dans la nuque la douce quitta dès lors les bras de Jizo pour se faire porter par ceux de Morphée. Il l'a déposé délicatement dans son lit de sang, avant de se faire interrompre par le Juunin qui était toujours à l'écart. Celui-ci envoyant un Kunai qui s'incrusta dans le bois à quelques dizaines de centimètres de la nouvelle Genin.
« Finis ton devoir. » rétorqua t'il d'une voix pressé.
« Avec plaisir » avait répondu le frêle empoignant le Kunai et le dégageant du bois avec un soupçon de difficulté.
La suite n'en fut que plus ténébreuse, plus sanglante, le jeune homme une fois la belle endormis avait retrouvé le sourire de la perversité, ces éclats rougeâtres s'illuminant de plus dans l'obscurité de la salle, cependant ceci ne visaient pas la Genin, mais plutôt le Juunin. Il n'avait fait ce soir là qu'obéir aux ordres, il avait terminé son devoir, celui de protéger Mei Terumi.
_ _ _ _ _ _ _
Une émeraude se baignant au sang, leurs deux regards en disant longs sur eux. Leurs regards pourtant ne suffisaient pas à les comprendre. L'amour était un mot bien trop général, bien trop simple, la passion ou le désir s'y rapprochaient plus. La scène était ineffable, tout comme eux deux. Pour l'une, il était son meurtrier favori, pour l'autre, elle était sa victime préférée et adorée. Il violait ces désirs, il volait son parfum, ces perversités jouant de l'innocente Mizukage, qui était devenu une femme plus puissante que lui même.
D'une manière aussi subtile qu'il soit, il se remis debout droitement, son fin regard toujours sur celle qui avait la tête comme rivait vers le ciel. Et aussi légèrement que son pas d'assassin, il s'inclina, ne visant cette fois que ces lèvres, se rapprochant de celle-ci, laissant la malice être à son paroxysme, le désir flottait dans l'air, la passion les incombaient. Ces lèvres froides allaient trouvé réconfort dans le rouge sang des siennes. La distance se faisait de plus en plus courte, toujours se rapprocha t'il de la manière la plus douce qu'il soit, refermant ces yeux de félins, empoignant le poignet de la dame, caressant la plaque de peau qui recouvrait son cœur. L'obscur clarté illuminant la scène, tel une pièce de théâtre qui arrivait à son dernier chapitre, celui où les amants se retrouvent. Et dès lors que ces lèvres frôlaient les siennes, l'ombre disparus, faisant volte-face, se dirigeant vers la porte. Les yeux saignant cette aura rouge, le Chakra de ces pupilles. Son sourire de chacal remontant ces joues, sa satisfaction au plus haut point, le joueur venait de jouer.
Sasuke* Uchiha
Chef Taka
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Et il y eut bien d'autre fois. Bien d'autre jeu. Il y eut bien des sensations, bien des douleurs. Il y eut d'autre chose, d'autre tourment, indéfinissable et passionner. Il y eut d'autre gout, d'autre aventure et bien des mort. Oui bien des morts. Beaucoup trop.
Le jeune homme frôla les lèvres de la belle, elle ferma les yeux, attendant la chute de cette action; Sa chaleur l'envahit, comme un désir incontrôlable, comme une pulsion d'aimer. Ou de se faire aimer. [Aime moi, plus que jamais tu n'aimeras.]La demoiselle le laissa partir. Faire volte face bouger d'un pas félin [bestial]S'enfuir sans parvenir a son bute. S'enfuir sans touché sa cible ou se qu'elle désir. [le désir t il lui?]Il n'y avait pas de surprise sur le visage de la Mizukage, il n'y avait pas de question dans sa tête. Mais on ne pouvait pas dire qu'elle s'y était habituer, se retrouvant frustrer, comme il aimait le faire. Disons plutôt qu'elle s'y était faite. a ce genre de manière. La demoiselle l'observa. Son dos droit et fort. Ses épaule peu large mais assez pour supporter tout le poids de son monde. Se briserait il si elle y ajouté quelque chose ? Si le destin lui ramené une autre ignoble quête? Non. Elle en était sur, et la confiance aveugle qu'elle lui portait aller bien au delà de celle qu'elle pouvait donner a n'importe qui. Parce que c'était dans se bras a lui qu'elle aimer pleurer. Et dans n'importe quel autre.
► MEI TERUMI ◄
" Ji-kun. "
Murmura t elle, le sourire au lèvre, posant les doigts contre sa chaise de cuire et de velours bleuté, s'asseyant sur celle ci. Confortablement. Elle savait qu'il voyait. Même ainsi. Elle savait qu'il sentait, qu'il connaissait. Elle était désirable dans son innocence, dans son sourire d'enfant taquin.
Flash Back
La pluie tombe. Et au loin, un immense champ de flamme. La belle s'approche sans voir. Instinctivement, les vieux vide, et du sang partout sur le corps Le visage abimait, brulait. et les cheveux en bataille, dans son dos, et devant son visage, dissimulant cette fois ses deux yeux vert. [Catin, pourquoi aimer?] Un vrai amour, qu'es que c'est? du désir, de la passion ? Un besoin de compagnie, juste la sienne. [Rien d'autre.] Derrière elle, les flammes, illuminant son dos, projetant son ombre bien loin sur les portes de la ville
" Terumi-san ?! "
Le garde approcha. Voyant celle qui était partie en reconnaissance quelque heure plus tôt. C'est cheveux avait brulé, ses vêtements souillé. Elle était blesser, elle avait mal mais pas forcement ou l'on croyait et lorsqu'elle s'arrêta devant les portes, un seul nom résonna devant celle ci. Un murmure, un caresse sur le rempart se propageant dans toute la ville.
" Ji-kun.. "
Elle ferma les yeux, penchant la tête en avant regardant ses main pleine de sang, regardant le sang de Makkura, regardant se qu'elle avait fait de lui : des cendres. Du feu. Des lueurs sombres s'affolait dans le village. La foret était loin, et la pluie arrêterais sans doute le feu. cette fine pluie qui formait des larmes sur les joues de la belle [Pleure mon enfant]. Elle avait tuer, achevé. elle avait massacré, elle avait détruit. Se qu'elle aimait [sans désirer] Se qu'elle chérissait [presque autant que lui] Alors elle souffre, elle souffre. Et comment lui dire, [avouer] comment lui dire que son cœur souffre pour un autre [a cause d'un autre] parce qu'elle a tuer, [bruler]Parce que son désir de vivre était plus grand que son envie de mourir avec lui. [Mesquine enfant] Parce qu'il lui avait demandé de partir, et s'illuminait le ciel d'étoile pour lui. [De la lave brillante]. Lentement, ses genoux faiblir. Ne supportant plus le poids qu'elle avait sur les épaules. Écrasant ses pensé, ses envies. Écrasant sa voix, la rendant muette. Sourde a la voix du garde qui l'appeler par son nom. Sourde a la pluie n'écoutant qu'un cœur battre et s'éteindre, n'entendant qu'une voix d'un mort [bruler] lui faire ses adieu.
Fin du Flash Back
Mais tout ça, c'est une autre histoire.
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Douce mélancolie. ♥
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