La journée était parfaite. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient et la brise fraîche me donnait un peu de force pour affronter ce monde atroce. Je n’ai pas l’âme d’un tueur je préfère faire du monde un lieu paisible et tranquille pour que chaque enfant qui naisse en fasse un idylle. Mais la vérité et bien loin de ce rêve pacifiste. J’étais installé sur l’un des débris du pont du ciel et de la terre. La rivière sous mes pieds qui suivait son court sans s’arrêter me faisait repensé a Reby. Sortant machinalement la montre de ma veste d’un geste je l’ouvrit pour vérifié pour la dix septième fois de la journée si ma soeur était en retard et c’était la septième fois que cette idée était vrai.

_Reby.... Qu’est ce que tu f...

Une abeille s’approcha de mon oreille. Pour empêcher les oi nin incompétent de m’attaquer je préfère prévenir que mourir. Elle se colla a mon épaule droite se qui signifiais que quelqu’un se trouvait dans la zone. Peut être un simple marchand ou peut être pas ?

_Qui que vous soyez... Hum comment dire je sais que vous êtes quelque part. Je ne sais pas approximativement où mais si vous voulez m tuer vous pouvez ! Ce ne sera qu’un pacificateur de moins dans ce monde !

Je n’étais pas convaincant. Pourtant ce que je disais était vrai peu m’importe de trépasser je veux simple vivre ma vie au maximum essayant de faire de ce paradis déchu un endroit convenable sans user de la violence et des insultes. Je poussais mes lunettes de deux doigt jusqu’en haut de mon nez, d’un geste nonchalant j’époussetais mes épaule et pour finir je me relevais mon smoking noir tranchait dans ce paysage coloré. Un sac en toile était posé a côté de moi contenant mes affaires, les plus basiques. D’un mudra je fis revenir les cinq abeilles a moi. Ce nombre était amplement suffisant pour surveiller une large zone mais tout de même. Il faudrait que je leur apprennent a me localiser avec plus de précision les inconnu.

_Donc si il ou elle pourrais sortir de son trou et se présenter comme je le ferais dès que son visage m’apparaîtra clairement. Enfin bon je me doute que les tueur ne révèlent jamais leur identité !

Je tournais sur moi même essayant de localiser la personne. Les abeilles commencèrent a ressentir le chakra s’approcher et volèrent de plus en plus vite toutes dans des sens contraire et pour amplifier leur impatience elles bourdonnèrent si fort qu’elles auraient pu couvrir ma voix quelques minutes avant. D’un claquement de doigt je les fis cesser. Qu’elles se calment un peu au cas ou j’aurais a livrer une bataille... Même si je déteste ça je pense que je ne devrais pas y échapper. Les insectes autour de moi s’envolèrent loin dans le ciel pour continuer de surveiller mes arrière mais cela était inutile je n’en avais pas besoin pour ressentir l’empreinte de la mort qui avançait dans ma direction.

Spoiler: