Combat pile a l'heure ! Une bouteille à la main c'est plus dur pour se battre...Biensur je ne suis pas qu'un rat de laboratoire
~ou un alcoolo fêtard~ mais si possible j'essayerais d'éviter les affrontement pour éviter d'arriver en retard pour le repas
~ou à mon rencart~ ce qui m'évitera d'énerver ma soeur et cela évitera ma mort Reby cette charmante Reby n'est pas un poid pour moi loni de la ! Du haut de ses vingt ans elle réussi parfaitement a se battre synchron' avec moi. Ma difficulté votre d'un combat est particulièrement les attaques a longue distance comme les flèches ou les boule de chakra élémentaire. il est dur pour moi d'éviter les attaques couvrant un énorme champ d'action pour n'importe qui d'ailleurs... Je préfère amplement utiliser des jutsu traitre et de faible envergure tout ça dans un temps minimal pour un champ d'action optimal. Ne pas salir mes vêtements c'est aussi essentiel, être un parfait majord d'homme avec Reby
~ou un parfait macho va savoir~ Pour parfaire le tout je ne sais pas si vous avez remarqué mais j'ai comme des pulsions étranges. Pas meurtrières, Suitères
.~Va pas croire qu'on remarque pas Suit~ En fait il me ressemble beaucoup mais il parle de lui a la troisième personne et il est sarcastique, énervant mais réaliste.
~il est aussi fêtard, un éternel fêtard~ Il possède sa manière de se battre et contrairement à moi il est droitier cela peut changer l'issu d'un combat...
Histoire atroce remplie de clichés !
Vivre dans la luxure et la compassion n’est ce pas une vie bien remplie ? Agréable, sans problème et longue. N’est ce pas aussi plat qu’une crêpe. Sans même un petit accroc, pas une seule bulle de pâte.
Atroce n’est ce pas ? Laissons tomber ses explication sur le bonheur de ne rien faire et passons à mieux, à moi. Mais se que je viens de dire n’est pas sans rapport puisque effectivement quand j’étais jeune j’ai vécu dans le luxe, l’or et les pierres précieuses. Je mi sentais si bien sans imaginer que la vie dans le danger et la peur de mourir était un luxe a lui tout seul. Chaque chose m’arrivais tout chaud dans la main. Couverts en argent, draps en soie jouet a volonté. Naître dans la noblesse c’étais pour moi un rêve qui a pris réalité lorsque j’ai poussé mon premier cri dans le village d’Ame. Mon père négociant en parfum et maroquinerie avait amassé une fortune en s’imposant comme le numéro un dans son domaine. Ma mère elle était une ancienne mannequin trop grosse pour continuer a défiler sur les podium des villes économiques des grandes nations. Elle avait épousé mon père un ans avant ma naissance, j’étais leur cadeau d’un ans de mariage. Le 13 juillet a minuit pile. Une nuit de pleine lune...
Encore un cliché ? J’avoue sa commence a pesé dans mon histoire. En tout cas c’est sûrement se qui a donné à mes yeux une couleur jaune luisant. Les domestiques dans la demeure richement décoré me craignaient et pour cause croiser mon regard était égal a un grand sacrilège. J’étais le gamin le plus pourri gâté à je ne sais combien de kilomètres à la ronde.
Atroce, j’ai désormais honte de ce passé immonde. Malheureusement, bah oui il en faut un, les dispute se faisaient de plus en plus fréquentes entre mes parents jusqu’au divorce.
Je n’avais que cinq ans mes mon esprit était vif et il ne fallait pas me faire un dessin pour comprendre que oui je ne rêverais plus ma mère. Mon père avait obtenu ma garde et son ex-âme soeur décida alors de recommencer une tournée alors que son état de santé était fragile. Paix à son âme. Cinq ans de plus a vivre avec lui, cinq ans catastrophique. Avant de se tirer ma “maman” a réclamer une grosse par de la fortune qu’avait amassé mon père au cours de ses années de travail acharné.
Atroce, plus un rond pour payer les serviteur, plus un centime pour les cuisinier, nada pour les major hommes, la déch pour la demeure, adieu les habits chique, bye bye les draps en soie, ravie de vous avoir connu des meubles en bois précieux... Plus q’un modeste appartement dans les bas fond du centre ville d’Ame. Mon esprit changea subitement, le gosse le plus chiant du pays de la pluie se transforma en une âme errante, l’ombre de moi même, un gamin chétif a la mine terne et a la volonté évanoui. Mes rêve de voyager dans l’espace et de créé un médicament pour rendre tout le monde immortel s’ évaporèrent aussi vite qu’une citronnade dans un four thermostat dix. Mon père enfermé dans sa chambre la plupart du temps m’avait littéralement oublié et ne faisait que me caresser mes cheveux rêche et me dire la gorge serré les mains tremblante : “t’inquiète pas Will’ on va s’en sortir, on va s’en sortir...” Il était d’une naïveté affligeante près a tout pour regagner quelques ryos. A tout ! Ou presque... Il n’a jamais tenté de me vendre sur le marché noir. Étrange quand on voit se qu’il a fait de moi plus tard. Malgré ses “discours encourageant” je restais froid comme une plaque de taule passé au congélateur. Mes pensées était obstruées par des visions de mort et de malchance. Immeuble qui s’ effondre, personne enterrées vivante, abandonnées, tuées.
Atroce. Au bout de ses cinq ans nous avons finalement aperçut la lumière au bout du tunnel.
Non, nous ne sommes pas morts. Simplement sauvé par une nymphe. Une femme d’une extrême beauté a la grâce qui ferais rougir les sirène et a la voix mélodieuse. Elle était éprise de mon père comme un moustique attiré par la lumière de la lampe de chevet. Son mari mort dans des conditions pour le moins mystérieuses avait été enterré il y’a a peine deux mois. En fait la définition que j’en ai fait est de mon père. Car son esprit simplet ne peut comprendre le regard ignoble que me lançais ma belle mère enfin laide mère.
Cliché ? Qui à dit cliché ? Illimité est un cliché a lui tout seul alors si ça vous plait pas mettez ça à la poubelle. Et en plus d’être une mauvaise maman elle avait une fille.
Atroce, ça c’est sure une demi sieur c’est pas le rêve. Elle aurait pu être gentille sage et muette ! Mais non... S’une chieuse. Enfin, une fillette de cinq ans et pas encore toutes ses dents qui a le malin plaisir de m’embêter dès que l’occasion se profil. Décoiffer mes cheveux, nouer mes lacets entre eux, détruire la symétrie de ma chambre, remplacer le dentifrice par de la sauve de piment au paprika et j’en passe et des meilleurs. D’ailleurs elle me cause aujourd’hui toujours autant d’ennuie. Je pouvais enfin ressentir la peur que les servant avait de moi a l’époque. Je devais faire un cache cache géant dans notre nouvelle demeure pour éviter de jouer au cheval et a la poupée avec elle.
Atroce, elle me faisait même des tresses et des couettes dans mon sommeil et bien sur mon père ignorais mes requête obnubilé par la mère de cette chipie. J’avais repris toute mes habitude de riche cupide qui souhaite tout d’un claquement de doigt. Quel sensation admirable et agréable. J’aimais les soirée mondaines avec toutes la noblesse du coin. Maire de petites villes du pays de la pluie, marchand du bout du monde, voyageur c’était plutôt un regroupement de personnalité de la région. Les relations entre mon père et moi s’étaient détériorées et les engueulades bourrées d’insulte était plus nombreuses que les couverts en argent que l’on trouvait dans les buffets du grand salon. Quinze été. Quinze été que je respire et que je vis et ce fut le drame. Non pas un divorce mais un abandon.
Cliché. J’ai un drôle de bruit qui bourdonne dans mes oreilles. Sous le prétexte d’un voyage d’affaire mes parents s’installèrent sur une île sublime du pays du thé au sud ouest de Kiri. Et le pire dans tout ça c’est qu’ils ont le culot de nous envoyer une carte postale. Oui je dis bien nous parce que je suis obligé d’élevé seule cette gamine de dix ans a peine qui continue éternellement a transformer ma vie en un enfer sans nom.
Atroce. C’étais lors d’une de mes nombreuses viré en ville sous le pseudonyme de
“Suit Tie” [Costume cravate] Ma tenue toujours d’un blanc impeccable tranchait parmi les nombreux fêtard en tenue décontracté noir. J’étais l’éclairage supplémentaire qu’il manquait au bar obscur. Je crois que je le suis d’ailleurs toujours un peu. Je ne peux avouer que j'aime la fête, l'alcool et les femmes. Suit et mon petit moment de détente. Le l'attend toute la journée avec impatiente. Lunette plus grande que d'habitude, costume blanc crème et cheveux blond et lumineux légèrement ondulé (perruque oblige). J'ai un succès fou dans les petit bar d'Ame jouant du piano pour accompagner un quelconque chanteur mais ce jour ci mes mains étaent engourdi et je préférais rester a ma table non loin de la cheminée. Tranquielemnt installé les pieds sur la table je ne me serait pas douté qu'on me dérangerais et poutant c'est un ivrogne qui s'est assis en face de moi. Atroce,il devait avoir gouter la mixture tequilla, whysky vidka pour arriver dans cet état. Il divaguait et racontais n'importe quoi. Je l'écoutais d'une oreille.
_
Ils m'ont laché *hic*
dans la nature comme une bouse de chauve souris c'tes naze de leur *hic*
part. Moi qui était l'un des plus puissant bal...balèze *hic*.
_Mais de quoi parlais vous vielle homme ?_De mes ancien *hic*
hommes, ils mont abandonné trop vieux selon *hic*
eux...Une abeille plus petite que la normal se baladait dans la pièce et choisi l’épaule de l’inconnu comme perchoir. Elle se frotta les pattes et observa le visage tiré par le temps de son protecteur.
_Excusez sa curiosité mais, trop vieux pourquoi ?_Pour combattre PARDIS ! Tu parle très bien *hiiic*
toi mais tu réfléchis peu._Excusez le, Suit est très distrait lorsqu’il se trouve dans un bar.
_Qui ça *hic* ?
*pointant un pouce devant moi*
eh bien Suit !_Toi aussi t’es pas *hic*
ajeun._Revenons a votre histoire vous combattez ? Dans quel sens ? _Dans le sens que *hic*
mon clan m’a laché alors que je possède la clef *hic*
de leur succès ! Leurs jutsus *hic* !
_Les jutsus...Je n’étais qu’un chunnin banal de l’académie et le fait d’évoquer des secret d’un clan ma percuté. Si il devenait mon senseï je pourrais en apprendre plus que les autres et les dépasser. Les yeux froid se sont transformer en deux gros émeraude brillant.
_Apprenez moi vos secret !!_Tu as du *hic*
culot gamin, t’me plait..._Pourtant Suit est banal vous savez..._On s’en contre fou *hic*
t’as du cran pour supporter mon haleine *hic*
_Il faut avouer... _Bon ! S’pas tout *hic*
ça, mais j’ai sommeil demain rendez vous sur la place du pendu a dix heure !Et c’est ainsi que le vielle homme qui s’appelais en réalité Kanda Kamizuru du clan Kamizuru maître et protecteur des abeilles. Bien qu’au début je n’invoquais que des larves j’ai réussit a attirer a moi deux trois insecte pour passer a une ruche entière. En plus de leur miel paralysant leurs dard sont d’une extrême efficacité. Tout cela était vraiment génial jusqu’a ce que le temps vole la vie de mon maître. Je n’étais pas triste et ce n'était pas
"atroce" car il m’avait appris son histoire et son héritage et cela était un honneur pour moi. Sa dernière volonté était d’être incinéré puis répandu lors d’une journée de pluie a Ame et son voeux fut exaucé. J’avais récupéré sur son cadavre le parchemin du pacte. Mon sang s’est répandu dessus, mon nom et mes empreinte aussi. La reine était désormais a moi mais je devais d’abord la maîtriser. Ma monté au rang de Junnin était désormais a porté de main.
Huit ans plus tard...
La maîtrise du kuchiyose et au plus près du parfait. La ponctualité est toujours l’n de mes but dans la vie et j’ espère m’élevé au grade le plus élevé dans les hautes sphères. Je reste toujours aussi froid dans la rue mais d’une folle pure quand il s’agit de faire la fête avec Suit. Reby a gagner un peu de maturité mais elle reste une chieuse de première même si notre duo des tueur d’Ame marche a la perfection. Mon caractère s’est bien affinée très simple et poli avec les inconnu, très légèrement macho avec les femmes et très souvent sarcastique. Suit lui est posé, bruyant et fou. Fou à lier ! Alors toutes ses
atrocités et ses
clichés vous ont plue ? Retrouver désormais la suie des avanture de notre Willi dans un coffret double deluxe près pour un tets de rp !