Feuille Ninja Points de Chakra: (1200/1200) Points de Vie: (1200/1200) Techniques:
Sujet: Flash back, 10 ans avant ♫ Mar 31 Aoû 2010 - 7:19
Flash Back
La pluie tombe. Et au loin, un immense champ de flamme. La belle s'approche sans voir. Instinctivement, les vieux vide, et du sang partout sur le corps Le visage abimait, brulait. et les cheveux en bataille, dans son dos, et devant son visage, dissimulant cette fois ses deux yeux vert. [Catin, pourquoi aimer?] Un vrai amour, qu'es que c'est? du désir, de la passion ? Un besoin de compagnie, juste la sienne. [Rien d'autre.] Derrière elle, les flammes, illuminant son dos, projetant son ombre bien loin sur les portes de la ville
" Terumi-san ?! "
Le garde approcha. Voyant celle qui était partie en reconnaissance quelque heure plus tôt. C'est cheveux avait brulé, ses vêtements souillé. Elle était blesser, elle avait mal mais pas forcement ou l'on croyait et lorsqu'elle s'arrêta devant les portes, un seul nom résonna devant celle ci. Un murmure, un caresse sur le rempart se propageant dans toute la ville.
" Ji-kun.. "
Elle ferma les yeux, penchant la tête en avant regardant ses main pleine de sang, regardant le sang de Makkura, regardant se qu'elle avait fait de lui : des cendres. Du feu. Des lueurs sombres s'affolait dans le village. La foret était loin, et la pluie arrêterais sans doute le feu. cette fine pluie qui formait des larmes sur les joues de la belle [Pleure mon enfant]. Elle avait tuer, achevé. elle avait massacré, elle avait détruit. Se qu'elle aimait [sans désirer] Se qu'elle chérissait [presque autant que lui] Alors elle souffre, elle souffre. Et comment lui dire, [avouer] comment lui dire que son cœur souffre pour un autre [a cause d'un autre] parce qu'elle a tuer, [bruler]Parce que son désir de vivre était plus grand que son envie de mourir avec lui. [Mesquine enfant] Parce qu'il lui avait demandé de partir, et s'illuminait le ciel d'étoile pour lui. [De la lave brillante]. Lentement, ses genoux faiblir. Ne supportant plus le poids qu'elle avait sur les épaules. Écrasant ses pensé, ses envies. Écrasant sa voix, la rendant muette. Sourde a la voix du garde qui l'appeler par son nom. Sourde a la pluie n'écoutant qu'un cœur battre et s'éteindre, n'entendant qu'une voix d'un mort [bruler] lui faire ses adieu.
Fin du Flash Back
Jizō
Juunin Kiri
Messages : 19 Date d'inscription : 25/08/2010 Age : 31 Localisation : France, Paris
Feuille Ninja Points de Chakra: (800/800) Points de Vie: (800/800) Techniques:
Sujet: Re: Flash back, 10 ans avant ♫ Mar 31 Aoû 2010 - 8:59
La pluie est là, s'alliant à la brume qui masque la vue de cadavres, elle, elle étouffe le bruits des cris d'agonie et lave le sang répandus au sol de la journée, embourbant le village d'un amas de limon liquide qui découle sur notre moral.
Le jeune enfant au regard de démon est là, déambulant une fois de plus belle dans cette pluie qu'il trouve si belle, si gracieuse, de ces fines gouttes qui parcourant le long de ces cheveux et ces joues, lui permette de masqué la vue de larmes, des larmes de peine envers ce monde, des larmes de chagrin pour tout autres choses. Ces geta frappent le sol à coup de pas lent et chalant, aujourd'hui était encore une journée de repos troublé en l'absence de ces compagnons, aujourd'hui était encore un jour noir sur le village rouge. Sa destination n'en a pas changé, les portes du villages ou continuellement il vient guetter leurs arrivés, ou continuellement il vient espérer le retour de sa muse et son ami.
"Makkura, Mei, où êtes vous ?" se demandait-il. Connaissant les deux comme étant des shinobis d'exception, il savait que leurs niveaux certains apporté une certaine ponctualité dans leurs tâches. Ce jeune homme aux cheveux d'argent ne les avait pas accompagné ce jour là, la mission de routine qui consistait à faire un tour de repérage ne nécessité pas la présence du 3éme compagnon. "Mais peut-être que si en fin de compte..." songea t-il.
Arrivait aux portes, il découvrit avec une émotion quelque peu embarrassante la scène. Le fait de voir l'être qui lui apporte la passion debout ne lui apportait pas que du bonheur. Elle était arrivée, elle était la seule à être arrivée, elle était tâchait de sang, une vision d'enfer, une vision qu'il avait rêver, une vision en laquelle il ne croyait pas. Sa prémonition fut juste, il le regretta. L'ombre apparut dès lors devant la jeune femme, lui même agenouillait tel elle, arrivait à sa même taille, pour que de ces bras de vipères, il l'enlace, il l'a réconforte, ne laissant échappé aucun son, se contentant de celui de la pluie qui frappait leurs frimousse.
« Je suis là, Mei. »
Les raisons de l'absence de Makkura, il les connaissait, il avait tout vue. Son dojutsu le lui avait permis, et pour lui ces yeux une malédiction, et cette malédiction apporte aussi bien le malheur à ces ennemis, qu'à lui même. Il aurait aimé être sot ce jour là. Ces doigts froids s'engouffraient dans les cheveux de la Chuunin Brune, son étreinte se faisant de plus en plus ressentir, comme un besoin de la réchauffé, de lui faire évacué cette peur qu'il détestait tant.
Sasuke* Uchiha
Chef Taka
Messages : 66 Date d'inscription : 10/05/2010
Feuille Ninja Points de Chakra: (1200/1200) Points de Vie: (1200/1200) Techniques:
Sujet: Re: Flash back, 10 ans avant ♫ Mar 31 Aoû 2010 - 9:30
" Ji-kun ... Ji-kun ! "
Elle sera le tissus, serrant, serrant serrant. Sentant la chaleur de la peau du jeune homme, sentant le froid. La quiétude. L'envie, le désir. mais la peine, la tristesse. Sentant aussi la douleur, la misère et la mort. [je veux mourir]
" Ji-kun ! '
Répéta telle encore alors que les larmes coulaient sur ces joues. La pluie était elle pour elle cette tristesse ? Du sang, partout du sang. Partout le rouge carmin qui résonne dans dans tout Kiri. Partout se sang, partout se sang sur cette jeune femme qui était si pure avant. Elle ferma les yeux, enfouissant sa tête dans le coup du jeune homme. Serrant ses doigts sur le kimono noire de Jizo. Serrant ses doigts, comme elle avait serait Makkura. Tentant de sentir la vie a travers la mort qu'elle avait donné. Tentant de sentir se que jamais plus elle ne pourrait sentir pour lui, sur lui, a son contacte a lui [Si mal ...]
" Je l'ai ... Je l'ai ... "
Comme un frère, comme l'homme de sa vie. Comme un amant, comme une douleur maintenant... Jizo ... d'habitude, elle pourrait, elle y arrivait. En temps normal, le jeune homme balayait totalement ces tristesse. D'un regard, d'un contacte. D'habitude il pouvait, simplement d'un geste irradiant sa tristesse. Anéantissant tout. La peine, la tristesse. La douleur ... La frayeur.
D'un coup, brutalement, elle se détacha de lui, reculant, le cul dans la bou, les mains souillaient.
" Je suis ... " [si salle...]
Elle est, si désespéré, si déprimé. Elle regarde, de ses yeux pleurant le jeune homme en face d'elle. Tournant la tête, ne voulant plus le voire, plus le regardé. Qu'il ne soie pas dégoutait d'elle. Qu'il ne la déteste pas. Qu'il ne lui en veille pas. Mais, de toute façon, elle s'en voulait bien assez toute seul. Elle s'en voulait bien assez elle même. Elle s'en voulait bien assez. [Je veux mourir] Un joyeux, un joyeux d'ortie, au creux de la poitrine, piquant, épineux. Douloureux. si froid, si palle. Si déchiré aussi.
Elle leva ses mains, sali de sang, les regardants, encore et encore puis ...
" Makkura .... Makkura ... MAKKURA !!!!! "
Elle posa ces mains sur son visage, voulant oublier, voulant chasser, ne voulant plus se souvenir de ça. ne voulant plus comprendre.
" AAAHHHH !!!! "
Un cris, comme un sanglot. Comme toutes les peines du monde réuni en un seul point culminant. Un cris, comme un sanglot aussi froid et désespéré que la mort, aussi destructeur que l'Homme. Un sanglot plein d'agonir, plein de frisson. Un éclat qui ne cessait plus, qui fait mal. [Mourir ...]
Je ressens a présent tout s qui nous séparée. Je ressens à présent cette perte, cette douleur. Oh comme j'ai mal, vais je encore payer des année ? Pourrait je un jour me laver de se crime, pourrais je un jours comprendre pourquoi j'ai dut me choisir a toi ? Dit moi, pourrais je prendre un nouveau départ un jours ? Cela fait mal, si mal. C'est si douloureux, si brutal. Ma mémoire fond, et ma vision s'efface. Mais je ressent toujours tout se qui nous sépare, tout cette vie qui a était brisé par ma faute! Mais comme j'ai mal. Je ne saurai plus trop quoi dire, je ne saurai plus trop quoi faire. Mais je t'aime, alors pourquoi t'ai je laissé ? Parce que j'avais peur ou .... parce que tu me l'avais demandé ...
Jizō
Juunin Kiri
Messages : 19 Date d'inscription : 25/08/2010 Age : 31 Localisation : France, Paris
Feuille Ninja Points de Chakra: (800/800) Points de Vie: (800/800) Techniques:
Sujet: Re: Flash back, 10 ans avant ♫ Mer 1 Sep 2010 - 6:52
Elle était une meurtrière, elle n'avait fait que son devoir, tuer. Le jeune homme devint empathique face au comportement de sa fleur. Elle était taché, elle était souillé d'un sang ami, elle était victime du destin, victime de ce monde, un monde qu'il se devait de changer, car ce monde n'était que trop mauvais pour elle. Non il ne sécha pas ces larmes, non il ne lui réquisitionna pas l'arrêt de pleurs, car même dans sa coque d'être insensible, Jizo savait très bien que les pleurs étaient salvatrices, ces larmes étaient telles les goutes de pluie qui s'abattait sur Kiri et lavé le sang répandu de la journée, les larmes étaient des perles salées qui emmenaient toutes avec elles une petite partie de chagrin, une petite partie de regrets, une petite partie de souffrance. Elle était sale, sale de cette boue, sale de se sang, sale de ses actes, mais malgré cela il ne pouvait s'empêcher de teindre son Kimono déjà misérable de cette saleté, l'enlaçant de nouveau, lui empêchant de fixer ces mains rougeâtres.
Aujourd'hui, la pluie masqué les cris d'une meurtrière, aujourd'hui Kiri allait connaître la disparition d'un de ces ninjas, et l'oublié dans cette même journée.
Lentement, il relâcha l'étreinte, puis se releva, lui cachant de son maigre ombre les quelques rayons de soleils qui avaient transpercé les nuages, puis d'une voix d'adolescent, il défia le bruit de la bruine en criant des mots :
« RELÈVE TOI ! TU ES PITOYABLE MEI ! Nous sommes des Shinobis, la mort nous suis, elle nous côtoie, et nous tâches jusqu'au bout de nos doigts. La seule tristesse que tu pourrais avoir, serait d'avoir laissé un ennemi en vie ! TU ME FAIS HONTE ! »
A ce moment, il aurait pu finir ces mots en giflant, mais non. S'il arrive de sa langue à déblatéré des mots que son propre cœur ne veut pas propager dans les oreilles de sa douce, sa main elle ne le peut pas. Mais il ne regretta pourtant pas ces mots, car au fond de lui, il savait qu'aujourd'hui, il fallait que le marteau du regret frappe la chair de cette fille sur l'enclume du désespoir, pour que de cette expérience, soit forgé une Kunoichi de fer. Une Kunoichi qui devint Mizukage.
Sasuke* Uchiha
Chef Taka
Messages : 66 Date d'inscription : 10/05/2010
Feuille Ninja Points de Chakra: (1200/1200) Points de Vie: (1200/1200) Techniques:
Sujet: Re: Flash back, 10 ans avant ♫ Mer 1 Sep 2010 - 8:18
Titubant, comme un bébé souillé sous la pluie, son cœur ne voulait plus avancé. Titubant, comme un éclopé prit dans une mer déchainé. Titubant, comme un mort dans la boue. Les mots étaient dure. Mais il était vrai. Il était froid, et Mei savait une chose : non il n'avait pas honte, mais oui, elle est pitoyable [la mort souille, surtout ce qui ne meurt pas]. Elle baisse la tête. Se tait. écoute le bruit de la pluie, le bruit du ciel agité, le bruit de la tempête que se prépare. Elle n'avait pas le temps de s'apitoyer, il y avait des choses a faire. Et encore après, il y aurai autre chose, et encore et encore et les année serait passer aussi. Ça aussi elle le savait mais ...
Mais Makkura ... Makkura il ne serrait plus jamais presser par le temps, il ne serait plus jamais triste lui. Il ne serait plus jamais la. Elle ne pourrait plus jamais l'écouté. plus jamais le voir. Plus jamais...
Elle regarda sa main droite, souiller de sang. Son sang, et celui d'un autre. D'un homme qu'elle chérissait du plus profond de son cœur. Elle l'aime ... Elle l'aime... [Sans la passion.] Alors elle ferme les yeux. [Aurait il voulu ça?] Resserrant le poing, enfin calmé. Enfin, jusqu'à se qu'elle se retrouve seul a nouveau. Pour pleuré toute seul l'acte ignoble qu'elle avait commis. Elle laissait des survivants ? Aucun n'aurai pu vivre dans se brasier, dans cette tempête de lave et d'acide. Rien n'aurait pu résister. Elle se redressa alors, la tête baisse, des larmes coulant toujours sur ses joues sans qu'elle ne puisse les arrêter. Mais sa voix, forte, belle est tranchante résonna. Dure, surtout pour elle même. Pour se donner du courage.
► MEI TERUMI ◄
" A qui crois tu parler ? Rien n'aurai pu survire a ça. "
► JIZO ◄
Elle fit un pas. Chancelante. Puis un deuxième, [Misérable] puis un troisième [Caprice] Elle passa a coté de lui. Observant le sol boueux. Serrant les poings, enfonçant ses ongles verni dans ses paumes. Jusqu'au sang. [fait moi mal encore, que je ne pleure plus.] Et elle s'arrêta. [ câline moi, jusqu'à que que tout cela me passe.] La tête toujours baissé. Murmurant, [gémissant] pour que celle lui l'entende. Dans un soupire. Un souffle. Dans une ignoble tyrannie, une douceur qui s'affole dans l'esprit. Un mot, un simple mot. Que Mei dit souvent, mais qui n'a jamais était aussi vrai. Qui n'a jamais était aussi sincère.
? MEI TERUMI ?
" Merci "
? JIZO ?
Elle caressa la main du jeune homme du bout des doigts, le remerciant, puisqu'il aurai été le seul a faire ça. A lui faire mal au cœur pour qu'elle se réveil. Personne n'aurai été aussi directe tout en l'aimant. [La Haïssant] Elle fit un autre pas, pus un autre. S'arrêtant. Secouait de sanglot retenue. Elle se tourna a demi, attrapant le dos du Kimono de Jizo, serrant celui ci dans son poing puis redressant la tête, laissant fondre ses cheveux dans son dos, ses beau cheveux claire. [Si salle] elle tira un peu sur le Kimono noire qu'elle tenait. murmurant encore, d'une voix rauque et cassé. demandant, comme une prière, comme si elle parlait a un parent, ou a un amant. Demandant, avec douceur et tristesse :
? MEI TERUMI ?
" Tu ... viens avec moi ? "
? JIZO ?
Venir avec elle [Me voire pleurer], la consoler un peu. [Toute la nuit] Boire un verre, parler. [Et se toucher jusqu'au déshonore]Juste dormir [Aussi longtemps que l'éternité.]
Jizō
Juunin Kiri
Messages : 19 Date d'inscription : 25/08/2010 Age : 31 Localisation : France, Paris
Feuille Ninja Points de Chakra: (800/800) Points de Vie: (800/800) Techniques:
Sujet: Re: Flash back, 10 ans avant ♫ Mer 1 Sep 2010 - 9:50
Il évite son regard, il ne veut pas l'a voir, il ne veut pas laissé place à un quelconque amour. Il a trop pensé à elle durant son absence, il a trop pensé par rapport à Makkura, il a trop pensé à elle pour une simple camarade, tout cela est louche.
Son étreinte le resserre, le réchauffe, lui qui a autant besoin de réconfort qu'elle, lui qui a assisté au spectacle de la mort d'un jumeau aux premières loges. Son regard est néfaste pour elle, son regard est méprisant, insultant et surtout, très mensongé. Et pourtant, elle continu à le considérer tel un frère, tel un amant, tel une personne qui pourrait lui apporter ce qu'elle veut.
Il ne l'a comprend pas, il ne se comprend pas, il ne comprend pas ce monde, il ne comprend pas sa vie, il ne sais pas quoi faire, quoi lui dire, quoi lui faire. Il est là, impassible et insociable, ne répondant pas à son accolade, à ces envies de câlins, et face à sa réponse, il reste de même silencieux, tel une statue de marbre au regard masqué par ces cheveux qui sont violés par la pluie. Son expression facial bouge alors, quelques clignement d'œil & une légère morsure à la lèvre. Le jeune homme est énervé, il ne le sais même pas lui même pourquoi.
Son sang chauffe, ces nerfs bouillonne, et son regard se tâche de rouge, il l'a bouscule, il l'a regarde, il l'a méprise, il l'étrangle de sa maigre main, ne rejetant pas un mot, se contentant de l'a regardé souffrir. Puis relachant son étreinte, il l'embrasse.
Un baiser long, un baiser d'adulte, un baiser de caresse, un baiser d'amour et de passion. Les goutelletes d'eau descendant du ciel se figent dans l'air, laissant les jeunes gens dans leurs mondes, celui d'un monde sauvage qui garde un aspect de fragilité, celui d'un sentiment que des shinobis ne devraient guère partagé, celui de l'affection. Ces mains se baladent, ces mains l'a touchent, ces mains l'a sentent, ces mains l'a découvrent, ces mains parcourent ces courbes, comme si c'était une oeuvre d'art qu'on aurait envie de sculptait. Le baiser se relâche, mais il est toujours là, ces lèvres frollant encore celle de la jeune Chuunin, il l'aime, bien plus qu'elle ne peut le croire, bien plus qu'il ne peut lui même le croire. Les mots ne viennent toujours pas, le baiser susdit servant comme réponse. Leurs regards se croisent, leurs océans se mêlent, l'émeraude se baigne dans le sang, et leurs amour de même.
Sasuke* Uchiha
Chef Taka
Messages : 66 Date d'inscription : 10/05/2010
Feuille Ninja Points de Chakra: (1200/1200) Points de Vie: (1200/1200) Techniques:
Sujet: Re: Flash back, 10 ans avant ♫ Jeu 2 Sep 2010 - 0:40
Un regard, une étreinte. Un attachement douloureux. Risqué, mais si bon. Le temps s'échappe, et les lueurs de la vie ne sont que des illusions. L'espoir en ai une aussi. Mais somme nous obligé d'y croire, sommes nous obligé de survivre avec cette hallucination sur le futur ?
Non. Mais si nous ne l'avons pas, alors nous mourons. Petit a petit, nous survivons sans vivre, et nous mourons sans attache. Parce que personne ne se souviendra de nous lorsque nous serons partie. [Nous ne reviendrons jamais.] Avec force, sans la surprendre pourtant, il posa sans délicatesse [amour] ses doigts blanc et long sur la gorge marqué de la belle, serrant, sans la tuer [Fait moi mal pourtant] Elle respire toujours. Bien que les voix soie bloqué, bien que tout soie plus difficile. Et elle ferme les yeux. [Emporte moi, Makkura]. Ils n'écoutent pas les voix et les cris troublé des gardes non loin d'eux. Ils n'écoutent que même pris dans un mode diffèrent du leurs. Ils sont étrange, et semblable. Puis les doigts se desserrent. elle ouvre les yeux. les posant sur Jizo, petit aussi triste quelle ? [Peut être plus.] Elle serre encore ses doigts sur le kimono de son ami. Autant que de son amant, de son amour. Elle s'approche, fait un pas, et est dans ses bras. et même si c'est agréable, se n'est pas pareil qu'avec Makkura. Avec lui, on se sent en sécurité oui, mais se n'est pas pareil, on sent que si quelque chose arrive, tout finira dans un bain de sang : mais on se sait protéger. Avec Makkura, on savait que rien n'arriverait. peut importe l'endroit on avait l'illusion que rien n'arriverait jamais. Son baissé était douloureux. Fort et doux a la fois. Et même si elle n'avait jamais embrassé Makkura, elle savait qu'il était diffèrent, que Jizo ne le remplacerais jamais [Pourquoi?] Mais elle ne lui demander pas d'être semblable. Seulement d'être lui même [Douleur] Parce que sinon, elle aurai souffert de sa présence alors que maintenant [Douleur] il l'apaise. La réconforte dans sa brusquerie. Lui il serai toujours la [égal a lui même] et elle aussi. Même si les autres ne reviendrons jamais. Lui il sera toujours la. Toujours. [Jusqu'à se qu'il meurt]
Mais le baisé continue. Chevauchant les secondes, semblant éternité. Mei lève ses mains, posant ses derniers, lavé de leurs sang et de leurs boue par la pluie, sur le visage de Jizo, sur ses joue, caressant du bout des doigts ses dernières. Un baissé comme celui là, c'était la première fois qu'il lui en donnait un. Des contactes, des frôlements, il y en avait toujours eut. Depuis aussi longtemps qu'elle pouvait s'en souvenir. Des étreintes, des sommeils [Des morts] Mais les baisé était plus rare. Parce qu'il n'étais pas seul, et parce qu'il n'en avait peut être pas tellement envie ? Ou se contentaient ils de désirer.
Grimpant sur la pointe de ses pieds, elle entra une nouvelle fois en contacte avec les lèvres de Jizo, passant sa langue savante sur celle ci, mordant la lèvre du jeune homme. Le sang s'écoula et la dame recula avec élégance. [Un mal pour un mal.] Mais elle tenait toujours la manche du kimono de Jizo. Se retournant, le tirant toujours avec elle [Suit moi jusqu'au bou] Marchant sous la pluie, rentrant chez elle : au village. Parcourant les rue. Sans dire un mot [Silence morbide] Elle marchait. Doucement. Mais bientôt, elle fut enfin chez elle. Une demeure qui semblait inhabité, sans aucun gout personnelle. Le stricte minimum pour quelqu'un qui reviens peux chez soie et qui au final ne considère pas tellement sa maison comme la sienne.
Elle fait un pas a l'intérieur, lâche enfin Jizo. Ses sandales son vite délaissé à l'entrer, puis elle prend un couloir, touchant du bout des doigts le mure blanc. Passant dans une petite salle de bain ou elle prend une serviette, apportant celle ci a Jizo. Marchant toujours aussi calmement approchant, comme un triste animal du prédateur. Approchant, tendant, sans hésitation pourtant, le tissus blanc et spongieux vers le visage du jeune homme. [ La laisserait il faire?] Doucement, avec la délicatesse d'une femme, elle essuie le visage du jeune homme. ces joues, sons cout ses cheveux et laisse cette derniers sur les cheveux du jeune homme. elle sourit, montre du doigts une pièce ou il semble qu'il devra l'attendre. Puis elle s'éloigne. Un pas [puis son cœur s'arrête] Puis deux. Et elle s'éloigne encore vers cette salle de bain ou le bain coule déjà, ou la chaleur de ce derniers attend de réchauffer son corps et de recueillir ces derniers larme et son sang.
[Hs : désolé un peu nul, je me rattrape après ]
Jizō
Juunin Kiri
Messages : 19 Date d'inscription : 25/08/2010 Age : 31 Localisation : France, Paris
Feuille Ninja Points de Chakra: (800/800) Points de Vie: (800/800) Techniques:
Sujet: Re: Flash back, 10 ans avant ♫ Ven 3 Sep 2010 - 6:25
Leurs pas ne sont pas silencieux à travers cette pluie, non, leurs pas gênent la terre, leurs pas blessaient la terre, et au fur et à mesure que les deux jeunes Chuunin s'avancent dans Kiri, la terre crie, faisant gicler son sang de boue, pleuré de ces mêmes larmes, se frictionnant sur elle même, et recueillant la saleté de tout un pays.
Il ne cesse de l'a regardé, de regarder sa nuque, ces cheveux, son dos, le corps de rêve qu'une Kunoichi pouvait désiré, le corps de rêve tâchait d'une vision d'enfer, celle du sang. Les cordes d'eaux les frappent son épaule, laissant couler d'infime petit ruisseaux qui parcourt le long de son habit et de sa peau, s'écrasant par terre emmenant avec eux une saleté, ou une goutte de sang, la lavant petit à petit, cachant ces précédentes larmes, et lui étouffant les cris du cœur de Jizo. Leurs pas continuèrent un petit moment, où les voici accueillit dans une modeste demeure. Ils entrent dans la maison, abandonnant la pluie au seuil de la porte, et alors il peut ouvrir les yeux sur une maison qu'il avait certes déjà vue, mais pas de la même manière. Il observait la simplicité du domicile, des lattes de bois couvrant les murs & le sol, l'absence de superflu, d'excentricité ou de coquetterie qu'il aurait fallut à Mei pour qu'elle soit la femme parfaite. L'expression du jeune homme par contre reste infaillible, depuis leur dernier baiser, son regard était resté fermé, son sourire était absent, et aucun frétillement d'émotion n'avait eu lieu chez lui, de ses longs-cheveux lui recouvrant une bonne partie du haut du visage. Il était observateur, admiratif, et rien d'autre. Il se laissa touché, débarbouillé, laissant finement ces pupilles d'argent fixé la jeune Chuunin, puis il suivit ces consignes et marchant tranquillement vers le salon. Touchant du bout du doigt une commode, dévisageant ces murs, tout ceci dans la grâce de la finesse. Et il se laissa alors emporté par le doux son de l'eau qui coule, une mélodie de chaleur et de vision de rêve, lorsque par une envie ineffable, il entrouvrit la porte de la salle de bain, et y pénétra a moitié dans celle-ci, découvrant le corps vue de dos, d'une adolescente qui était... encore habillé. Telle une ombre, il ne laissa pas le temps à sa dulcinée de se retourner, telle une ombre, il se faufila derrière elle, aussi discret qu'il aurait pu, pour délicatement tirer sur le col de celle-ci, dévoilant ces épaules de déesse et lui murmurait à l'oreille, des mots chatouilleux, des mots fins :
« Souffre mon désir, Mei.. »
Ces yeux entrouverts purent alors percevoir un élément qui aurait pu compromettre son arrivé en finesse, un mirroir disposé là, parfaitement devant eux, un miroir qui lui permis de sa position dans le dos de la jeune femme, d'avoir une vue brouillé par la fine pellicule de buée sur le visage de la jeune femme, sur sa vue de devant, sur la moitié de sa beauté. Je te ferais oublié Makkura en ce jour, Mei.